Dernières actualités avec #Ousmane Dembélé


Le Parisien
5 days ago
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« Je profite de la vie, c'est tout », Lamine Yamal répond aux critiques sur sa fête d'anniversaire avec des nains
Une mise au point. Ou tout comme. En marge de la signature de son nouveau contrat avec Barcelone, Lamine Yamal, désormais majeur (il a fêté ses 18 ans le 13 juillet) et engagé avec le club catalan jusqu'en 2031, en a profité pour revenir mercredi sur les polémiques qui le touchent. Le grand rival d'Ousmane Dembélé pour le Ballon d'or traverse en effet un été perturbé par des affaires extra-sportives. Entre ses relations supposées avec des influenceuses, sa visite au Brésil auprès de Neymar , star controversée, e t sa fête d'anniversaire avec des personnes de petites tailles , le jeune prodige espagnol a suscité de nombreuses réactions dans son pays. Mercredi, Lamine Yamal est donc revenu sur les attaques qu'il subit. « En fin de compte, je travaille pour le Barça, je joue pour le Barça, a-t-il martelé. Et, quand je suis loin de la Cité Joan Gamper (le centre d'entraînement du club catalan), je profite de la vie, c'est tout. » Des propos adressés en espagnol après une question pourtant posée en catalan, selon le quotidien Sport, afin de bien élargir la portée de son message. Après des débuts étourdissants avec le sacre de la Roja à l'Euro en 2024, le titre en Liga cette saison et ses 18 buts et 25 passes décisives dans l'ensemble des compétitions 2025, le surdoué a clairement signifié qu'il voulait mener sa vie comme il l'entendait. « Je veux gagner, a aussi rappelé Lamine Yamal. Je veux continuer à gagner et à grandir parce que je suis très jeune. »

L'Équipe
6 days ago
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Augmentés, prolongés ou vendus : le destin qui attend les attaquants du PSG cet été
Prolongation, revalorisation salariale, départs potentiels : dans le secteur offensif, l'été 2025 du PSG sera le théâtre de nombreuses discussions. La délégation parisienne s'est dispersée dans la nuit américaine, dimanche. Au bout de cette finale de Coupe du monde des clubs perdue face à Chelsea (0-3) et de cette saison exceptionnelle. La fin de cet exercice 2024-2025 ouvre le « Luis Campos time », cette période excitante où le dirigeant portugais, au-delà des mouvements d'arrivées ou de départs, va devoir discuter, échanger, négocier les aspects contractuels des joueurs déjà présents. Un exercice peu aisé a fortiori dans un vestiaire de très haut niveau où tous les équilibres salariaux sont épiés. C'est dans le secteur offensif que ces discussions seront sans doute les plus âpres. À l'exception de Khvitcha Kvaratskhelia, recruté l'hiver dernier, du jeune Ibrahim Mbaye (17 ans), qui a récemment paraphé son contrat pro et des lofteurs (Kolo Muani, Asensio) amenés à repartir rapidement, la quasi-totalité des attaquants est, à court ou moyen terme, concernée par ces discussions contractuelles. Dembélé, une revalorisation à venir ? Il est LA figure parisienne de cette saison 2024-2025. Depuis son repositionnement en tant qu'attaquant axial l'hiver dernier, Ousmane Dembélé (28 ans) a basculé dans une dimension exceptionnelle. Auteur de 35 buts et de 16 passes décisives, l'ancien Barcelonais s'est construit un statut de favori au Ballon d'Or. Alors qu'il avait signé au PSG à l'été 2023 moyennant quelque 50 M€, Dembélé, sous contrat jusqu'en 2028, peut-il devenir un sujet pour le PSG ? Le champion du monde, s'il obtient le plus prestigieux des titres individuels le 22 septembre prochain, sera, en tout cas, en position de force pour renégocier son bail et ses émoluments. Déjà joueur le mieux rémunéré de l'effectif, avec un salaire brut mensuel évalué à 1,5 M€ par mois, Dembélé, qui dispose de nombreuses variables dans son contrat, pourra viser le salaire d'un top 5 mondial. Sans atteindre bien sûr celui à l'époque d'un Lionel Messi dans la capitale, évalué à 30 M€ nets annuels, son salaire fixe sera amené à évoluer. « Ce sera une discussion à avoir », glisse-t-on sobrement parmi les acteurs du dossier. Cet été ou cet automne, ce sujet sera mis sur la table. Barcola, une prolongation en négociation C'est sans aucun doute le dossier le plus brûlant à gérer pour les dirigeants parisiens. Auteur d'une saison brillante (21 buts, 21 passes décisives), l'international français (14 sélections, 2 buts) reste sur son contrat initial. Celui d'un espoir français, arrivé pour 50 M€ de l'OL. L'ancien Lyonnais (22 ans, sous contrat jusqu'en 2028) n'apparaît pas dans le top 10 des salaires parisiens. Devenu international en juin 2024, l'ailier a changé de statut. Le PSG en est conscient et a entrepris de premiers échanges pour sa prolongation. Ils se poursuivront dans les prochaines semaines. Associé au Bayern Munich par de nombreux médias étrangers ces derniers mois, Barcola, qui a changé de représentants, reste, par son statut de jeune ailier déstabilisant (et international), une cible des cadors européens. Mais il n'y a pas de monde, aujourd'hui, où l'attaquant quitterait le PSG cet été. Avec cette prolongation à négocier, l'ailier peut viser le top 5 des salaires du club de la capitale. Gonçalo Ramos, un statu quo à prévoir, mais... Le cas du Portugais est un peu part. Arrivé à l'été 2023, l'ancien joueur de Benfica (24 ans, sous contrat jusqu'en 2028) ne s'est jamais durablement installé dans cette position de numéro 9. Le staff technique, s'il est conscient que son profil ne colle pas totalement à ce qu'il attend d'un attaquant axial, a toujours loué l'attitude au quotidien du numéro 9. Un élément solaire apprécié en outre par ses coéquipiers. Le PSG, qui mesure l'important investissement réalisé (65 M€), n'est pas prêt à le brader mais renvoie l'image au marché qu'il est prêt à discuter en cas d'offre intéressante. Le joueur a, ces derniers mois, accepté son statut de 2e rotation offensive. Ce qui n'empêche pas ses représentants de rester attentifs au marché. Doué, la question va vite se poser Lui aussi a changé de dimension en quelques mois. Arrivé de Rennes moyennant 50 M€ l'été dernier, le milieu offensif (20 ans, sous contrat jusqu'en 2029) a connu une progression express, avec des performances souvent exceptionnelles en Ligue des champions et des premiers pas flamboyants en équipe de France. La question contractuelle va nécessairement se poser à court terme. En la matière, Luis Campos a une méthodologie claire : le dirigeant portugais attend toujours environ un an et demi après l'arrivée du joueur avant de potentiellement lancer des négociations de prolongation. Peuvent-elles être anticipées dans le cas de Doué ? Dans le camp du joueur, ce sera, en tout cas, rapidement perçu comme un sujet de discussion. Lee Kang-in, un avenir en pointillé Quatre courtes entrées, trois matches sur le banc : sa Coupe du monde des clubs, dans la continuité des derniers matches de Ligue des champions (0 minute jouée sur les quarts, demies et finale) s'apparente à un déclassement pour Lee Kang-in. L'attaquant sud-coréen (24 ans, sous contrat jusqu'en 2028) est la première « victime » de l'arrivée de Kvaratskhelia l'hiver dernier. L'ancien Valencien, acheté quelque 20 millions d'euros en 2023, peut-il se contenter de ce statut ? S'il se sent bien dans le contexte parisien et ne forcera pas son départ, il ne fermera pas la porte à une belle opportunité. Le staff technique est, lui, déçu par les productions du joueur. Aujourd'hui, le PSG donne à penser que son joueur n'est pas à vendre. Une volonté réelle ou plutôt (et plus sûrement) une manière de ne pas trop dévaloriser son actif ? Une prochaine réunion va fixer les attentes de chacune des deux parties. À lire aussi Un bilan contrasté Opération régénération Entre beIN Sports et la LFP, le ton monte encore Quelles différences entre le foot de ville et de campagne ?


Le Parisien
13-07-2025
- Sport
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Chelsea-PSG (3-0) : le feu d'artifice est annulé
Le PSG ne deviendra pas le gardien de la galaxie. Il reste humain mais sur son nuage de champion d'Europe 2025, c'est quand même le principal. Il est passé complètement à côté de sa finale de la Coupe du monde des clubs , renvoyé à la pause à l'état de misère, celui dans lequel il mettait ses adversaires jusqu'à présent, l'Inter Milan le 31 mai, le Real Madrid encore en milieu de semaine, balayé 3-0 à la pause. Il aura souffert d'abord lui-même, incapable de répondre à l'intensité physique, en retard dans les duels, les placements, maniant le ballon avec une lenteur de joueurs épuisés. Avec un jour de moins de récupération, deux suspendus, et un parcours autrement plus relevé que celui de Chelsea (Palmeiras et Fluminense en quart et demie face au Bayern et le Real pour Paris), il a sombré, offrant peu de ses aptitudes de la saison, dans l'art d'occuper les espaces ou dans les transmissions. Le dommage - 3-0 à la mi-temps - sera trop lourd pour espérer une remontada. Si le milieu de terrain n'avait plus les jambes, les attaquants sont restés englués dans la densité anglaise. Khvicha Kvaratskhelia n'avait plus d'inspiration, un baromètre assez parlant des difficultés parisiennes (il sera remplacé par Bradley Barcola à la 58e), Ousmane Dembélé était introuvable et Désiré Doué a effectué des mauvais choix, comme celui trop altruiste de servir Achraf Hakimi (16e) alors qu'il pouvait marquer. Ou quand vos qualités collectives se retournent contre vous. Il y a tout ce que le PSG a réalisé de mauvais mais qui ne suffit pas. Chelsea a formidablement pris le match par le bon bout, sans crainte, avançant sur Paris comme une menace permanente. Les Blues ont rapidement identifié des faiblesses sur le côté gauche de la défense parisienne - Nuno Mendes trop haut, Lucas Beraldo trop indolent - pour exploiter sa supériorité et mener 2-0 en moins de dix minutes (22e, 30e) et enfoncer le clou juste avant la pause par João Pedro, nouvelle recrue des Londoniens et autorisé à jouer depuis les 8e de finale. Une particularité du règlement qui décrédibilise cette compétition. Il n'empêche. Paris aurait adoré la remporter. Il n'avait plus rien en stock, ni résilience ni feu dans ses idées et ses courses, pour y parvenir. Son pressing s'est liquéfié, ouvrant des autoroutes à Cole Palmer et consorts. Cet ultime échec, le premier Luis Enrique lors d'une finale sur un match, ne change rien à l'histoire, qui voit Chelsea remporter le Mondial après la Ligue Europa Conférence. La saison du PSG, la meilleure équipe en 2025 sur la planète, demeure sublime et géniale. Les Parisiens chutent simplement en finale parce qu'il manquait Willian Pacho dans un match sérieux et de la mobilité, la grande force jusqu'à maintenant. Même si l'empilement des joueurs ne sert à rien, avoir un peu plus de concurrence en défense et au milieu, disons des remplaçants fiables pour faire tourner y compris dans les grandes compétitions, pourrait aider le PSG à l'avenir. L'équipe se fonde sur douze joueurs pour onze places, la dernière se partageant entre Désiré Doué et Bradley Barcola. Les autres paraissent un cran en dessous. Après la pause, Paris retrouvera ses esprits, avec en point d'orgue un énorme arrêt de Robert Sánchez devant une reprise de près d'Ousmane Dembélé, enfin trouvé (52e). Évidemment, impossible de revenir dans une partie jouée depuis la pause et tendue jusqu'au bout entre les deux équipes, signe d'un vrai enjeu. La saison prochaine, Paris aura une nouvelle équipe sur laquelle passer ses nerfs si elle la retrouve, ce Chelsea champion du monde des clubs.

L'Équipe
13-07-2025
- Sport
- L'Équipe
Football - disparition : L'hommage en mémoire de Diogo Jota avant le match amical de Liverpool
C'est à Preston que Liverpool disputait dimanche son premier match, amical, depuis le décès de Diogo Jota disparu le 3 juillet. Dans le stade, 6 000 spectateurs sont venus avec photos, pancartes et écharpes en mémoire du Portugais. Après l'hymne de Preston a été chanté celui de Liverpool, « You'll never walk alone », pendant que le capitaine de Preston déposait une couronne. Une minute de silence, conclue par des applaudissements, a été observée par les joueurs qui portaient des brassards noirs. À voir sur L'Équipe Nüsken : « Nous sommes toujours dans la course » Mascherano : «Messi est notre leader, celui qui pousse le groupe» Wück : « Une victoire méritée pour la Suède » Ronaldo : « Le PSG joue un football magnifique, c'est le favori » Infantino considère la compétition comme « la plus réussie au monde » « Ce serait une belle sensation » : Cole Palmer avant la finale de la Coupe du monde des clubs « On va tout faire pour remporter ce trophée » : Ousmane Dembélé avant la finale de la Coupe du monde des clubs Ousmane Dembélé et Cole Palmer prennent la pose avec le trophée avant la finale de la Coupe du monde des clubs Van de Donk ravie de retrouver ses anciennes coéquipières La réponse piquante du sélectionneur néerlandais à un journaliste français Toletti avant d'affronter les Pays-Bas : « Pas de calculs pour nous » Bonadei répond à son homologue néerlandais : « Il est dans son rôle » Faghani : « Un honneur d'arbitrer cette finale » Collina : « Un tournoi incroyable, au-delà de nos attentes »


Le Parisien
11-07-2025
- Sport
- Le Parisien
« Dembélé presse comme s'il était le meilleur défenseur du monde » : l'hommage d'un ancien du Real à la star du PSG
Il y a évidemment ses 35 buts, ses 13 passes décisives et son poids offensif dans les victoires du PSG. Mais Ousmane Dembélé , encore décisif contre le Real Madrid (4-0) en demi-finale de la Coupe du monde des clubs mercredi, ne s'illustre pas uniquement ballon au pied cette saison. L'attaquant parisien, candidat au Ballon d'or , se distingue aussi dans son activité défensive, et en particulier son pressing sur les joueurs et gardiens adverses. Un investissement remarqué par une ancienne gloire du club madrilène (1999-2009), Michel Salgado. « Dembélé presse comme s'il était le meilleur défenseur du monde, souffle l'ex-latéral droit espagnol dans une interview accordée au journal As vendredi. Convaincre un joueur comme Dembélé de faire cela, c'est ce qui distingue vraiment un bon entraîneur. C'est clair. Transformer les joueurs les plus difficiles d'une mentalité individuelle à une mentalité au service du collectif. » Pour Michel Salgado, la métamorphose d'Ousmane Dembélé est l'un des symboles de l'application de la philosophie de l'entraîneur du PSG, Luis Enrique . « Ce qu'il a fait est spectaculaire, souligne-t-il. Tout le monde parlait de Mbappé quand il est parti, et il a su gérer le changement sans jamais le critiquer. Ils se sont adaptés à une autre façon de jouer, à un autre style, davantage collectif, en privilégiant toujours l'équipe au-dessus de l'individualité. Cela pousse tout le monde à se donner à fond, non seulement en attaque, mais aussi en défense. C'est un entraîneur qui motive énormément ses joueurs. Tout le monde applique un pressing intense. » L'ancien partenaire de Zidane et Figo n'est pas le seul à avoir noté cette implication du champion du monde 2018. « Je lui ai dit après le match qu'il pressait beaucoup et il m'a dit que c'est ce qu'il devait faire, a expliqué après la demi-finale le gardien du Real Madrid, Thibaut Courtois. Sur un dégagement, j'ai une demi-seconde pour réfléchir à l'endroit où je vais taper, car ils vous pressent. » Un autre gardien a également été victime de cette débauche d'énergie d'Ousmane Dembélé. Yann Sommer, le portier de l'Inter Milan, avait été gêné par l'activité du Français lors de la finale de Ligue des champions remportée (5-0) par le PSG .